Dansons une dernière fois, la ritournelle est morte
Et le coeur aux abois je frappais à la porte
De mes frayeurs d’hier
Que me vaut donc le vent, dupliquant la fenêtre
Et ouvrant grand la vitre, il jette
Son amour pour la rime, il le jette, le regrette
Et dans son enclos, seul, lisant son épitaphe
Il verse encore le mord nous retenant, la vague
De nos désillusions nous ramène à ce soir
Où tu fis l’invaincu, en guise de paraphe.